Le coco loco
Prenez dans une main une machette, dans l’autre main une coco verde, pas trop mûre, afin qu’elle soit pleine d’eau. Percez délicatement la coco à l’aide de la machette, le trou réalisé doit être relativement petit. Glissez-y une paille.
Buvez une ou deux gorgées d’eau de coco, pour faire un peu de place.
Puis versez un peu de rhum. Buvez. Vous pouvez renouveler l’opération autant de fois que souhaitée. Un avertissement cependant : la concentration en rhum augmente…
Taganga, côte caraïbes, juin 2007
Prenez dans une main une machette, dans l’autre main une coco verde, pas trop mûre, afin qu’elle soit pleine d’eau. Percez délicatement la coco à l’aide de la machette, le trou réalisé doit être relativement petit. Glissez-y une paille.
Buvez une ou deux gorgées d’eau de coco, pour faire un peu de place.
Puis versez un peu de rhum. Buvez. Vous pouvez renouveler l’opération autant de fois que souhaitée. Un avertissement cependant : la concentration en rhum augmente…
Taganga, côte caraïbes, juin 2007
El arroz con coco, façon artisanale
Si vous en avez la possibilité, décrochez d’un cocotier deux noix de coco bien mûres. Sinon, achetez-les dans un supermarché.
Ouvrez-les et faites des petits morceaux afin de pouvoir les râper.
Râpez la chaire blanche des noix de coco, avec un râpe coco si vous en possédez un, sinon une râpe classique fait très bien l’affaire.
Dans un saladier, mélangez la coco râpée avec un peu d’eau, afin de bien l’humidifier. Attendez 2-3 minutes puis prenez une première poignée de coco que vous pressez au travers d’une passoire afin d’en extraire le lait. Renouvelez l’opération jusqu’à ce que vous ayez pressé toute la coco.
Rajoutez un peu d’eau à la coco râpée sèche. Attendez 2-3 mn puis pressez à nouveau tout le contenu du saladier.
Une fois le lait ainsi obtenu, réservez une partie de ce premier lait.
Versez l’autre partie dans une casserole et portez-le à ébullition. L’eau doit s’évaporer et seul le lait, qui à désormais une apparence huileuse, doit rester.
Une fois toute l’eau évaporée, mettre le riz à cuire dans ce lait. Si besoin est, rajoutez de temps à autre du premier lait afin que le riz ait assez de liquide pour cuire suffisamment. A la fin de la cuisson, le riz est prêt pour être dégusté.
Las Gaviotas, côte Caraïbes, juin 2007
Le platano pisado (semi-maduro)
Pour une dizaine de platanos pisados, 2 bananes plantains mûres. Coupez-les en morceaux de 5cm d’épaisseur environ. Ensuite, faites frire les morceaux dans un peu d’huile d’arachide pendant 3 mn.
Retirez-les de l’huile, puis un par un, écrasez les morceaux d’un coup sec, ceci à l’aide d’une grosse pierre. (ou du dessous d’un mug, ça marche aussi très bien)
Les morceaux doivent être assez fins, un demi cm d’épaisseur environ.
Après cette opération, plongez les morceaux ainsi aplanis dans l’huile bien chaude pendant 2 mn.
Retirez délicatement les morceaux de banane de l’huile, c’est prêt. A consommer chaud ou froid, avec un peu de sel ou sans, excellent en apéritif.
Pour une dizaine de platanos pisados, 2 bananes plantains mûres. Coupez-les en morceaux de 5cm d’épaisseur environ. Ensuite, faites frire les morceaux dans un peu d’huile d’arachide pendant 3 mn.
Retirez-les de l’huile, puis un par un, écrasez les morceaux d’un coup sec, ceci à l’aide d’une grosse pierre. (ou du dessous d’un mug, ça marche aussi très bien)
Les morceaux doivent être assez fins, un demi cm d’épaisseur environ.
Après cette opération, plongez les morceaux ainsi aplanis dans l’huile bien chaude pendant 2 mn.
Retirez délicatement les morceaux de banane de l’huile, c’est prêt. A consommer chaud ou froid, avec un peu de sel ou sans, excellent en apéritif.
Bogota, juin 2007.