La Colombie, un pays de tradition gastronomique, non pas vraiment. Beaucoup de voyageurs doivent oublier bien vite les mets de Colombie. D’ailleurs, on ne va pas là-bas pour manger, on va en Colombie pour découvrir un pays interdit. Mais il faut bien se nourrir, même lorsque l’on joue au baroudeur d’un temps, sac au dos.
Le riz, inévitable. Les farines en général, abondantes et nourrissantes. Il n’est pas rare, dans une comida corriente, de se retrouver face à une assiette contenant cinq ou six farines : riz, manioc, pâtes, banane plantain, pommes de terre, haricots rouges en sauce.
Ca tient dans le ventre toutes ces farines. La comida corriente, c’est le restaurant de tous les jours, la cuisine populaire. Le menu y est bien souvent à 4000 pesos colombianos, pour peu d’argent donc on s’y nourrit.
Et dans les rues…Plein de bonnes choses dans les rues de Bogota, de Riohacha, de Santa Marta, et autres villes et villages colombiens. Les arepas, galettes épaisses de maïs, fourrées au beurre et au fromage costeño, les petits sachets de mangue verte coupées en lamelles et arrosées de sel pour accompagner une bière bien fraîche sur la côte Caraïbes, de mangue bien mûre pour le petit-déjeuner sous les cocotiers, les empanadas de maïs et frites, et bien entendu, les jus…
Toute une histoire, les jus de fruits frais, en Colombie.
Imaginez un petit stand, une gargotte locale, dans celle-ci des petites paniers suspendus par une ficelle à une poutre, et dans les paniers, des fruits, beaucoup de fruits, connus et inconnus : goyave, ananas, mangue, papaye, lulo, maracuya, guanavana ,mûre, melon, zapote, tomate arbole… A l’eau ou au lait, avec beaucoup de glace et un peu de sucre, quel délice, quelles saveurs ! Servis dans de grandes timbales en métal, à boire avec une paille. Le jus de mangue le plus onctueux, à Taganga, le pieds dans l’eau…Le meilleur jus de guanavana, à San Gil, dans ce petit café d’artistes…Le jus de goyave le plus savoureux, sans doute à Carthagène, au milieu des caméléons…
Le riz, inévitable. Les farines en général, abondantes et nourrissantes. Il n’est pas rare, dans une comida corriente, de se retrouver face à une assiette contenant cinq ou six farines : riz, manioc, pâtes, banane plantain, pommes de terre, haricots rouges en sauce.
Ca tient dans le ventre toutes ces farines. La comida corriente, c’est le restaurant de tous les jours, la cuisine populaire. Le menu y est bien souvent à 4000 pesos colombianos, pour peu d’argent donc on s’y nourrit.
Et dans les rues…Plein de bonnes choses dans les rues de Bogota, de Riohacha, de Santa Marta, et autres villes et villages colombiens. Les arepas, galettes épaisses de maïs, fourrées au beurre et au fromage costeño, les petits sachets de mangue verte coupées en lamelles et arrosées de sel pour accompagner une bière bien fraîche sur la côte Caraïbes, de mangue bien mûre pour le petit-déjeuner sous les cocotiers, les empanadas de maïs et frites, et bien entendu, les jus…
Toute une histoire, les jus de fruits frais, en Colombie.
Imaginez un petit stand, une gargotte locale, dans celle-ci des petites paniers suspendus par une ficelle à une poutre, et dans les paniers, des fruits, beaucoup de fruits, connus et inconnus : goyave, ananas, mangue, papaye, lulo, maracuya, guanavana ,mûre, melon, zapote, tomate arbole… A l’eau ou au lait, avec beaucoup de glace et un peu de sucre, quel délice, quelles saveurs ! Servis dans de grandes timbales en métal, à boire avec une paille. Le jus de mangue le plus onctueux, à Taganga, le pieds dans l’eau…Le meilleur jus de guanavana, à San Gil, dans ce petit café d’artistes…Le jus de goyave le plus savoureux, sans doute à Carthagène, au milieu des caméléons…
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